2010年9月8日星期三

En 2010, décroissance et recul de la marge

Comme les autres grands des services,christian louboutin prix, Capgemini aura plutôt bien protégé sa marge dans le courant de l'année 2009. A 7,1 %, celle-ci est certes en retrait très net par rapport à 2008, mais reste dans les bonnes eaux pour le métier des services. En revanche, le chiffre d'affaires recule sur l'année de 5,5 % à taux de change et périmètre constant (mais seulement 3,9 % en valeur brute). En France, ce repli atteint 6,1 %. Sur ces deux critères, Cap fait donc moins bien que Atos-Origin, même si sa rentabilité est bien supérieure et que la SSII dirigée par Thierry Breton doit beaucoup à sa filiale de traitement des transactions électroniques Worldline, activité que ne possède pas le groupe piloté par Paul Hermelin.

L'essentiel de cette décroissance a été amené par le second semestre 2009, après une bonne résistance en début d'année (chiffre d'affaires stable à périmètre courant). Et, après un troisième trimestre déjà très en recul (-9 %), Capgemini ne fait pas mieux en fin d'année, encaissant un - 8,5 % sur les trois derniers mois de l'année à périmètre courant (à 2,05 Md€). Selon les explications données par le groupe en novembre, ce recul plus accentué que celui de la plupart des concurrents de la SSII semble provenir de deux phénomènes conjugués : la faiblesse de la demande dans l'intégration et le conseil bien sûr, mais aussi le recul de l'outsourcing au second semestre du fait de la renégociation de deux grands contrats (réduction du périmètre des contrats TXU et Schneider). Sur l'année, l'activité infogérance ne progresse ainsi que de 0,3 % à taux de change et périmètre constants. Tandis que celles liées à l'intégration et aux services de proximité (Sogeti) reculent respectivement de 7,4 et 8,3 % par rapport à 2008. Sans surprise,chaussure adida, le conseil est l'activité la plus affectée par la crise (- 14,7 %).

En 2010, décroissance et recul de la marge

Pour 2010, Capgemini parle désormais de stabilisation, mais estime que son chiffre d'affaires restera en décroissance au premier semestre. La SSII promet de renouer avec l'expansion au second semestre, une promesse il est vrai rendue plus facilement tenable par la faiblesse de la seconde moitié de 2009. Avec, au final,nike shox, une année de nouveau en contraction (entre -2 et -4 %) et une marge sous pression (entre 6 et 6,5 %).

Capgemini comptait au 31 décembre 90 500 salariés,Fer ghd styler, 1 100 de moins qu'un an plus tôt. Les effectifs offshore représentaient 31 % de ce total,tn nike, avec 28 000 personnes. Soit 3 000 de plus qu'il y a un an. "La réponse de Capgemini à la pression des donneurs d'ordre sur les prix consiste à augmenter la part d'activité réalisée en offshore, tout en tenant nos prix dans les pays développés", expliquait Paul Hermelin, le directeur général, début 2009. Les anticipations de marge opérationnelle de Cap pour 2010 montrent que le discours a peut être atteint ses limites.

PDF infectés au Troyens : un mode opé

Nouvelle anicroche dans les relations entre les Etats-Unis et la Chine. Suite au piratage de comptes Gmail - révélés par Google via un billet de blog -, iDefense, filiale sécurité de Verisign (société très proche du gouvernement américain), explique dans un rapport que les responsables de l'attaque sont issus ou travaillaient pour les services secrets de l'Empire du Milieu. Le rapport précise par ailleurs qu'au total, 33 organisations étaient visées par la cyber-attaque datant de décembre. Se basant sur deux sources proches des milieux de la défense ou du renseignement américains, iDefense précise toutefois ne pas savoir si les hackers travaillaient directement pour une agence chinoise ou étaient mandatés par les renseignements de l'Empire du Milieu.

Pour l'instant,tn air max, Google,nike jordan, Adobe et le spécialiste du cloud computing Rackspace ont admis avoir été ciblés par cette attaque. Seul Google a reconnu avoir vu ses données compromises et des éléments de sa propriété intellectuelle dérobés (certainement du code source). Rappelons qu'en réponse, le géant de la recherche a menacé de se retirer de Chine et de fermer Google.cn,mbt odeon, son moteur local. Selon le Washington Post, le chimiste Dow Chemical et le spécialiste de l'armement Northrop Grumman - deux groupes américains - feraient aussi partie de la liste des sociétés ciblées.

PDF infectés au Troyens : un mode opératoire connu

Pour Mikko Hypponen, le responsable de la recherche au sein de l'éditeur dannois F-Secure,tn air, l'attaque reposait sur des fichiers PDF infectés par un Troyen et envoyés en pièce jointe d'emails. Un mode opératoire qui rappelle l'attaque de juillet dernier contre une centaine de sociétés de l'IT. Le rapport de iDefense suggère d'ailleurs que les deux épisodes pourraient en fait ne constituer qu'une seule et même attaque,converse basse, ce qui signifie que certaines des organisations visées auraient été piratées pendant des mois.

L'affaire jette un froid dans les relations déjà houleuses entre les deux grandes puissances mondiales. La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton a expliqué mardi attendre une explication du gouvernement chinois. Et doit tenir la semaine prochaine un discours sur "la nécessité d'assurer la liberté d'Internet au XXIème siècle".

C'est le Protectionnisme qui a gagné les Europée

Il avait d’ailleurs essayé de mettre le sujet dans la campagne des Elections Présidentielles de 2007 en affirmant «que le candidat qui parlerait de protectionnisme,christian louboutin shoes, gagnerait les élections.».

Aujourd’hui, nous sommes obligés de le constater,nike vapor, le protectionnisme a gagné les Elections Européennes du 7 Juin 2009 et c’est étrange que les médias n’en parlent pas d’avantages. Peut être n’en parlent-ils pas car comme le dit Emmanuel Todd dans son livre,lisseur styler ghd, les élites estiment le libre-échangisme comme obligatoire dans la mondialisation.

Mais revenons à l’affirmation que je viens de formuler. Le protectionnisme a donc gagné cette élection car les 4 partis arrivés en tête (UMP, PS, MoDem et Verts) défendaient dans leur programme cette idée pour l’Europe.

Ainsi, l’UMP a pu dire «Protégeons nos entreprises et nos emplois» en affirmant «Il n’y a pas de raison que l’Union Européenne soit le seul continent du monde à ne pas protéger ses travailleurs et son économie.».

Le Parti Socialiste pour sa part a déclaré «Nous sommes la plus grande économie au monde (l’Europe) et nous pouvons donc créer plus d’emplois, de meilleure qualité, et réduire la pauvreté en développant nos échanges dans le cadre de normes.». De plus,louboutin pas cher, le protectionnisme d’affirme également sous forme de subventions «Nous proposons d’aider les entrepreneurs à anticiper les changements liés au défi climatique et aux ruptures technologiques.».

De la même manière, Europe-Ecologie a défendu «une clause de Non-régression sociale» en écrivant à la suite «Nous préconisons le développement d’un socle commun pour l’ensemble du droit social européen, un véritable bouclier social européen qui protège les salariés contre les délocalisations et le dumping social.»

Enfin, le Mouvement Démocrate affirmait dans ses engagements «Pour défendre les entreprises européennes et l’emploi en Europe, la compétition entre l’Europe et le monde doit être rendue équitable.» et de cette manière, le MoDem proposait l’écrit suivant: «Nous demandons l’équité: pour les pays développés, les produits qui entrent en Europe doivent être soumis aux mêmes règles que ceux que nous fabriquons. Pour les pays les plus pauvres, nous devons les aider à appliquer progressivement ces mêmes règles.»

Pour conclure, je crois que nous pouvons nous féliciter de cet avancement pour les citoyens et travailleurs européens. En effet, l’Union Européenne a souvent été la structure la moins protectionniste du monde et cela a été très régulièrement aux dépens des européens.

Les Etats Unis, le Japon ou encore la Chine défendent leur marché intérieur avec des subventions,jimmy choo foursquare, taxes et autres moyens financiers. Faisons de même car la mondialisation doit nous tirer tous vers le haut et l’Europe a les moyens, avec ses 500 millions de citoyens, d’impulser ce mouvement.

En complément

Lors de son événement SAPphire, qui se tient du 17 au 19 mai simultanément à Orlando (Etats-Unis) et à Francfort, le co-Pdg de l'éditeur, Jim Hagemann Snabe, a confirmé que l'ERP pour PME en mode Saas, ByDesign, sera commercialisé à partir du mois de juillet. Le lancement sera effectué simultanément dans 6 pays : Etats-Unis, Allemagne,manolo blahnik shoes, Grande-Bretagne, Chine, Inde et France.

Ce produit, sur lequel SAP fonde d'importants espoirs pour percer le marché des PME, a connu de nombreux retards dans ses développements. Actuellement en phase de test chez une centaine de clients dans le monde - dont certains en France - (au prix de 133 euros par mois et par utilisateur pour un accès à toutes les fonctions), le produit a été entièrement redéveloppé au cours de ces derniers mois, pour aboutir à la version (la 2.5) qui sera prochainement commercialisée. Etrangement,louboutin soldes, chez un éditeur de cette taille, le modèle économique des premières moutures a été mal pensé, empêchant toute commercialisation en masse. Il y a quelques jours, dans nos colonnes, Nicolas Sekkaki, le directeur général de SAP France, expliquait ainsi : "Notre structure de coûts n'était pas la bonne : nous ne pouvions pas avoir des milliers de clients, car nous n'aurions pas pu suivre." Bref, jusqu'à la refonte technologique qui a débouché sur cette version 2.5, chaque client ByDesign coûtait de l'argent à l'éditeur.

En parallèle de ce travail sur l'architecture de la solution,chaussure prada, SAP a amené à cette version 2.5 des fonctions décisionnelles en temps réel (avec la technologie In-Memory), le support des terminaux mobiles et une interface revue et corrigée, en exploitant la technologie de Microsoft,louboutin pas cher, Silverlight. Pour son évolution vers le RIA, SAP penche donc clairement vers Microsoft.  Tout comme pour son environnement de développement ; le kit de  développement pour Business ByDesign, qui permettra aux partenaires d'étendre la solution, s'intégrant à Visual Studio,  l'environnement de développement proposé par Redmond.

Accélérer le développement de

Dans la pratique, VMware met la main sur quatre produits de la famille Ionix d'EMC, à savoir Server Configuration Manager (ex-ConfigureSoft), FastScale Application Provisioning, Application Discovery Manager (ex-nLayers) et Service Manager (ex-Infra). Les autres logiciels de la gamme Ionix restent dans le portefeille logiciel d'EMC et notamment la gamme d'administration de réseau Smarts, et les outils de gestion du stockage de la gamme Control Center. EMC conserve aussi les outils de gestion du datacenter issus du rachat de nLayers, ainsi que la propriété de la marque Ionix. On devrait donc voir prochainement apparaitre au catalogue de VMware des produits comme vCenter Change Management ou vCenter Service Desk...

Ce partage de la gamme Ionix entre la maison mère EMC et sa filiale VMware aboutit à une séparation entre applications serveurs et applications de gestion de l'infrastructure sous-jacente. Tout ce qui touche plus ou moins aux serveurs est ainsi transféré chez VMware tandis qu'EMC conserve tout ce qui touche à l'infrastructure de base (réseau et stockage). Même si cela n'a pas été explicitement confirmé,christian louboutin prix, EMC Ionix Unified Infrastructure Manager (UIM),chaussure puma, l'outil de management unifié censé piloter l'offre vBlock conçue avec Cisco, devrait rester chez EMC

Accélérer le développement de VMware dans les outils d'administration

Chad Sakac, le vice-président de l'alliance EMC-VMware chez EMC, a indiqué que les logiciels Ionix viendront aussi enrichir des produits existants de VMware. Ainsi Server Configuration Manager pourrait enrichir les ESX Host Profiles, et étendre les fonctions de contrôle de conformité jusqu'au contenu des machines virtuelles. nLayers Application Discovery Mapping pourrait quant à lui être marié à VMware AppSpeed afin d'aider à cartographier les interdépendances au sein de chaines applicatives complexes et résoudre d'éventuels problèmes de performance.

En transférant certains actifs Ionix à VMware, EMC place toutefois ce dernier en concurrence directe avec les éditeurs historiques d'outils d'administration comme HP,bottes timberland, CA,ugg soldes, BMC et IBM Tivoli. Un "Big Four" qui a tardé à prendre en compte la percée de la virtualisation et dont les offres sont encore incomplètes. EMC donne aussi à sa filiale les armes nécessaires pour affronter la montée en puissance de Microsoft sur le terrain de la virtualisation, une montée en puissance qui s'appuie non seulement sur Hyper-V, mais aussi sur l'intégration de l'hyperviseur aux outils d'administration de la gamme System Center. On peut par exemple considérer qu'Ionix for Service Management (ex-Infra) sera la réplique de VMware au prochain System Center Service Manager que doit dévoiler Microsoft lors de son Management Summit à la mi-avril.

VMware devrait donc pouvoir accélérer le développement de son offre d'outils d'administration tout en offrant un bien meilleur support des environnements virtualisés que celui proposé par les quatre éditeurs historiques. De quoi renforcer la concurrence entre le spécialiste de la virtualisation et ses partenaires,chaussures lacoste, mais aussi étendre l'affrontement avec Microsoft sur un nouveau terrain à compter de la fin 2010 ou du début 2011.

La brique Help Desk de System Center continue de s

Intune, c’est un service light d’administration et de sécurisation à distance des postes de travail que Microsoft propose à ses partenaires de revendre à leurs clients entreprises : accessible via une interface Web, le service permet de gérer les parcs de plusieurs clients différents avec, pour chaque poste de travail,lisseur styler ghd, l’inventaire des licences logicielles, la gestion des règles de sécurité, des alertes d’infection par logiciel malveillant, des alertes sur les éventuelles défaillances (risques de défaillance), l’application de mises à jour, etc. Le tout sans mise en place de réseau privé virtuel. Même les PC domestiques des collaborateurs de l’entreprise cliente peuvent être ainsi administrés - sur la base du volontariat, lorsqu’ils sont utilisés ponctuellement à des fins professionnelles.

Lancé en bêta 1 limitée à l’Amérique du Nord au printemps, Intune est désormais accessible en France - aux 10 000 premiers partenaires volontaires. Il sera commercialisé officiellement début 2011 au prix de 11 $ par mois et par PC - avec MDOP pour 1 $ de plus par poste et par mois.

La brique Help Desk de System Center continue de se faire attendre

Tout à sa stratégie de services basés sur le Cloud, Microsoft continue, pendant ce temps, de faire patienter ceux qui voudraient exploiter commercialement Service Manager, la brique de help desk de sa suite d’administration de systèmes, System Center. L’an passé, à l’occasion de l’édition 2009 de la conférence partenaires de Microsoft, Laurent Locardel, directeur commercial de Global Info,air force jordan, détaillait ses attentes : «Service Manager centralisera toutes les informations remontées par Operations Manager (SCOM) et Configuration Manager (SCCM) : inventaire, logiciels,timberland france, etc. Lorsqu’un utilisateur déclarera un incident, on aura toutes les informations de suivi sur la machine concernée. Les diagnostiques seront plus rapides.» A l’époque, il soulignait le retard accusé par Service Manager dans son développement, attendant son lancement pour le premier semestre 2010.

Aujourd’hui, c’est toujours l’attente. Sinon que Service Manager est entré en bêta 2 début avril dernier, puis en RTM - Release to Manufacture, une phase qui marque généralement le gel du code et le début de la fabrication des DVD pour la commercialisation - fin avril dernier. Depuis, plus rien,adida chaussures, ou presque. Sur son blog, l’équipe d’ingénieurs chargée de Service Manager fait état, ,puma chaussures, d’avancées et de corrections sur Service Manager Authoring Tool, avec la sorti d'un premier service pack pour l’outil permettant de créer des formulaires et des workflows personnalisés pour Service Manager.

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Intune, c’est un service light d’administration et de sécurisation à distance des postes de travail que Microsoft propose à ses partenaires de revendre à leurs clients entreprises : accessible via une interface Web, le service permet de gérer les parcs de plusieurs clients différents avec, pour chaque poste de travail, l’inventaire des licences logicielles,mbt chapa, la gestion des règles de sécurité, des alertes d’infection par logiciel malveillant, des alertes sur les éventuelles défaillances (risques de défaillance), l’application de mises à jour, etc. Le tout sans mise en place de réseau privé virtuel. Même les PC domestiques des collaborateurs de l’entreprise cliente peuvent être ainsi administrés - sur la base du volontariat, lorsqu’ils sont utilisés ponctuellement à des fins professionnelles.

Lancé en bêta 1 limitée à l’Amérique du Nord au printemps, Intune est désormais accessible en France - aux 10 000 premiers partenaires volontaires. Il sera commercialisé officiellement début 2011 au prix de 11 $ par mois et par PC - avec MDOP pour 1 $ de plus par poste et par mois.

La brique Help Desk de System Center continue de se faire attendre

Tout à sa stratégie de services basés sur le Cloud, Microsoft continue, pendant ce temps,chaussure adida, de faire patienter ceux qui voudraient exploiter commercialement Service Manager, la brique de help desk de sa suite d’administration de systèmes, System Center. L’an passé,jimmy choo foursquare, à l’occasion de l’édition 2009 de la conférence partenaires de Microsoft, Laurent Locardel, directeur commercial de Global Info, détaillait ses attentes : «Service Manager centralisera toutes les informations remontées par Operations Manager (SCOM) et Configuration Manager (SCCM) : inventaire, logiciels, etc. Lorsqu’un utilisateur déclarera un incident, on aura toutes les informations de suivi sur la machine concernée. Les diagnostiques seront plus rapides.» A l’époque, il soulignait le retard accusé par Service Manager dans son développement, attendant son lancement pour le premier semestre 2010.

Aujourd’hui, c’est toujours l’attente. Sinon que Service Manager est entré en bêta 2 début avril dernier, puis en RTM - Release to Manufacture, une phase qui marque généralement le gel du code et le début de la fabrication des DVD pour la commercialisation - fin avril dernier. Depuis,chaussures manolo blahnik, plus rien, ou presque. Sur son blog, l’équipe d’ingénieurs chargée de Service Manager fait état, , d’avancées et de corrections sur Service Manager Authoring Tool,jimmy choo pour h&m, avec la sorti d'un premier service pack pour l’outil permettant de créer des formulaires et des workflows personnalisés pour Service Manager.

En complément

Après avoir vendu les activités en Allemagne à la SSII belge Vision IT, le conseil d'administration de GFI a officialisé ce matin la cession de sa filiale transalpine (520 personnes), qui plombait lourdement les comptes, à "un industriel italien". "Enfin, GFI se désengage de ce foyer de perte, même si la SSII a du recapitaliser la structure avant de la céder", commente Brice Thébaud, analyste chez Aurel BGC spécialiste du marché des logiciels et services.

Retraité des activités cédées, le chiffre d'affaires de la SSII française tombe en 2009 à 663,6 M€. Rappelons que,ghd france, en intégrant les activités vendues, le chiffre d'affaires initialement publié par GFI atteignait 726,timberland soldes,4 M€, soit une décroissance de 9 % sur un an. Débarrassé de ses deux filiales en fort recul (-53,7 % au dernier trimestre pour l'Italie, -18,6 % pour l'Allemagne sur la même période), la décroissance se limite à 6,7 %. Même ainsi reconfiguré, la groupe a vu sa marge reculer sur un an : à 4,5 %, celle-ci plonge de 2 points en un an. "A l’international, le groupe a décidé de se concentrer sur les marchés sur lesquels il pouvait renforcer rapidement les synergies avec la base française et gagner des parts de marchés", commente la SSII dans un communiqué.

Italie et Allemagne : 50 M€ de pertes

Ainsi redimensionné, GFI reste avant tout un acteur fortement centré sur la France, où il réalise plus de 70 % de son chiffre d'affaires. Dans l'Hexagone, sur l'année entière, la SSII a connu une décroissance de 5,5 %. Derrière ce poids lourd, GFI dispose d'implantations significatives en Espagne, au Portugal (en croissance organique en 2009) et au Canada, où la société alors dirigée par Jacques Tordjmann a procédé à plusieurs rachats d'éditeurs de logiciels (Accovia, Bell Solutions et Forstum).

Plombé par des restructurations (dont plus de 7 M€ en France) et par les pertes générées par la cession des filiales allemande et italienne (pour un total de plus 50 M€ de pertes sur l'activité, moins-values de cession et écarts d'acquisition, majoritairement en provenance d'Italie), la SSII termine 2009 largement dans le rouge. Sa perte atteint 57,8 M€. Sur les six premiers mois de 2009, GFI avait limité le trou à 11 M€. L'endettement net s'est légèrement accru, à 95,louboutin prix,1 M€, tandis que les capitaux propres se sont allégés de plus de quelque 65 M€.

Un rôle dans la consolidation, mais lequel ?

Dans un communiqué, Vincent Rouaix, le Pdg, explique s'inscrire dans le plan de réorientation stratégique qu'il a présenté en juillet dernier : "l’organisation sectorielle et le renforcement managérial sont aujourd’hui effectués avec des premiers résultats commerciaux concrets. Dans un contexte économique qui reste difficile,adidas original, le groupe poursuivra l’application de son plan en vue d’améliorer ses marges et de jouer un rôle actif dans la consolidation de son marché". Un rôle actif qui pourrait toutefois bien être celui de la proie. "Même si le niveau de dette de GFI - 60 % des capitaux propres - n'en fait pas une proie très alléchante", note Brice Thébaud.

Pour 2010, GFI se limite à promettre une amélioration de sa profitabilité - sans préciser toutefois si la société repassera dans le vert - et la poursuite de son désendettement. Avec la volonté de continuer à pousser ses billes dans le logiciel où les marges sont plus confortables (12 % au Canada où GFI a regroupé plusieurs éditeurs locaux).

2010年9月7日星期二

Italie et Allemagne : 50 M de pertes

Après avoir vendu les activités en Allemagne à la SSII belge Vision IT, le conseil d'administration de GFI a officialisé ce matin la cession de sa filiale transalpine (520 personnes), qui plombait lourdement les comptes, à "un industriel italien". "Enfin, GFI se désengage de ce foyer de perte, même si la SSII a du recapitaliser la structure avant de la céder",louboutin sale, commente Brice Thébaud, analyste chez Aurel BGC spécialiste du marché des logiciels et services.

Retraité des activités cédées, le chiffre d'affaires de la SSII française tombe en 2009 à 663,6 M€. Rappelons que, en intégrant les activités vendues, le chiffre d'affaires initialement publié par GFI atteignait 726,4 M€, soit une décroissance de 9 % sur un an. Débarrassé de ses deux filiales en fort recul (-53,7 % au dernier trimestre pour l'Italie, -18,6 % pour l'Allemagne sur la même période), la décroissance se limite à 6,7 %. Même ainsi reconfiguré, la groupe a vu sa marge reculer sur un an : à 4,5 %, celle-ci plonge de 2 points en un an. "A l’international, le groupe a décidé de se concentrer sur les marchés sur lesquels il pouvait renforcer rapidement les synergies avec la base française et gagner des parts de marchés", commente la SSII dans un communiqué.

Italie et Allemagne : 50 M€ de pertes

Ainsi redimensionné,air max classic, GFI reste avant tout un acteur fortement centré sur la France, où il réalise plus de 70 % de son chiffre d'affaires. Dans l'Hexagone, sur l'année entière, la SSII a connu une décroissance de 5,5 %. Derrière ce poids lourd, GFI dispose d'implantations significatives en Espagne, au Portugal (en croissance organique en 2009) et au Canada, où la société alors dirigée par Jacques Tordjmann a procédé à plusieurs rachats d'éditeurs de logiciels (Accovia, Bell Solutions et Forstum).

Plombé par des restructurations (dont plus de 7 M€ en France) et par les pertes générées par la cession des filiales allemande et italienne (pour un total de plus 50 M€ de pertes sur l'activité,lisseur professionnel, moins-values de cession et écarts d'acquisition, majoritairement en provenance d'Italie), la SSII termine 2009 largement dans le rouge. Sa perte atteint 57,8 M€. Sur les six premiers mois de 2009, GFI avait limité le trou à 11 M€. L'endettement net s'est légèrement accru, à 95,1 M€,rolex femme, tandis que les capitaux propres se sont allégés de plus de quelque 65 M€.

Un rôle dans la consolidation, mais lequel ?

Dans un communiqué, Vincent Rouaix, le Pdg, explique s'inscrire dans le plan de réorientation stratégique qu'il a présenté en juillet dernier : "l’organisation sectorielle et le renforcement managérial sont aujourd’hui effectués avec des premiers résultats commerciaux concrets. Dans un contexte économique qui reste difficile, le groupe poursuivra l’application de son plan en vue d’améliorer ses marges et de jouer un rôle actif dans la consolidation de son marché". Un rôle actif qui pourrait toutefois bien être celui de la proie. "Même si le niveau de dette de GFI - 60 % des capitaux propres - n'en fait pas une proie très alléchante", note Brice Thébaud.

Pour 2010, GFI se limite à promettre une amélioration de sa profitabilité - sans préciser toutefois si la société repassera dans le vert - et la poursuite de son désendettement. Avec la volonté de continuer à pousser ses billes dans le logiciel où les marges sont plus confortables (12 % au Canada où GFI a regroupé plusieurs éditeurs locaux).

Un ple mobilité fortement densifié e

Intel a visiblement choisi l’été pour frapper un grand coup sur le marché des transactions à plusieurs milliards. Après s’être offert McAfee et une présence d’envergure sur le marché de la sécurité pour 7,7 milliards de dollars,vapor pas cher, le numéro un mondial du microprocesseur vient de mettre 1,rolex replica,4 milliard de dollars (1,1 milliard d’euros) de plus sur la table pour récupérer les activité mobiles du fondeur allemand Infineon.

De son côté, ce dernier évoque une cession stratégique. Certes, le groupe voit s’envoler prés du tiers de ses trois milliards d’euros de chiffre d’affaires annuel. Mais il estime qu’il s’agit d’une opération de recentrage indispensable pour ce concentrer sur des segments plus stratégiques.
Pour Intel, il s’agit surtout d’une manière rapide de renforcer sa présence sur le très lucratif et dynamique marché des smartphones où le groupe américain souffrait d’un manque certain de présence. Cité par Reuters, Flint Pulskamp, analyste d'IDC, expliquait la semaine passée, alors que l’opération n’était encore qu’une rumeur, que "Infineon ferait instantanément d'Intel un poids lourd (du marché mobile) et leur permettrait de gagner trois ou quatre ans de R&D (recherche et développement)".

Un pôle mobilité fortement densifié en quelques semaines

Si la division Wireless Solutions d’Infineon ne se classe qu'au cinquième rang mondial des puces pour équipements mobiles – derrière Broadcom, Qualcomm ou TI – ses équipes pourraient permettre à Intel de répondre à la montée en puissance d’ARM, le constructeur britannique rendu particulièrement populaire par le lancement de l’iPad. De nombreuses rumeurs font de plus état d’un possible rachat de ce dernier par Apple. Du coup, Intel se verrait sans doute bien en alternative œcuménique pour les constructeurs de téléphones mobiles concurrents de la firme à la pomme, un peu sur le modèle de Google Android face à l’iOS des iPhone.

Le rachat de McAfee, il y a tout juste 15 jours, s’inscrivait déjà, selon nombre d’analystes, dans cette stratégie d’orientation vers les plates-formes mobiles. Les deux sociétés étaient déjà partenaires sur la sécurisation des dispositifs mobiles et embarqués, et McAfee dispose, à son catalogue, de produits pour les terminaux mobiles, notamment ceux d'éditeurs spécialistes du sujet (Trust Digital et TenCube), acquis récemment.

Un pas de plus vers la convergence architecture mobile / architecture traditionnelle

Par ailleurs,air max pas cher, l’émergence des smartphones et autres tablettes laisse augurer d’une convergence accrue entre leurs architectures de base… et le monde x86. Une tendance qui éclaire également les mouvements d’Intel et son investissement conséquent. En juin dernier, commentant l’actualité ARM pour LeMagIT, Yves Legrand, responsable marketing du département consumer de Freescale, spin-off de Motorola qui produit des processeurs ARM,air max plus, expliquait ainsi que « si le démarrage du coeur ARM, c’est le téléphone mobile et les assistants personnels électroniques signés Palm,prada chaussures, aujourd’hui, on monte en gamme avec les tablettes, iPad et petits portables, etc. On parle désormais de processeurs embarquant 8 cœurs ARM, cadencés à plus de 1 GHz... On vient clairement chatouiller le marché servi par le x86 qui, dans le même temps, cherche à descendre en gamme. Du coup, oui, il y a bien collision des deux architectures. »